Commentaire :
Amis lecteurs,
Lundi 10 février en fin d'après-midi, en travaillant sur les libellés de certains de mes anciens billets, j'ai publié par erreur ce billet inachevé. Je vous prie de bien vouloir m'en excuser.
En 2012, avec la fin de l'expérience Velcom, et fort d'une importante documentation, la question d'un billet à ce sujet s'est posée. Ce que vous voyez ci-dessous en est le premier jet. Cependant, ce sujet étant déjà abondamment traité et d'autres thèmes et actualités attirant mon attention à l'époque, je n'ai pas poursuivi. Mes archives sont peuplées de ces billets que vous ne verrez jamais, sauf erreur de manipulation comme celle de ce lundi.
Il faut bien comprendre que la tenue d'un blog est très consommateur de temps et que je ne souhaite pas m'investir au détriment de mes activités professionnelles et, surtout, de ma vie personnelle et familiale. Pour durer, il faut trouver un équilibre. D'ailleurs, si je devais être élu au Conseil municipal, il me faudrait donner une nouvelle orientation à ce blog...
Il me reste à vous remercier de votre fidélité. Je peux vous indiquer d'ores et déjà que je parlerai de transports en commun dans le prochain billet. Quant à celui-ci, je vais le laisser pour l'exemple.
Julien MENEAU
Saint-Denis, le 13 février 2014
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" Le 24 juin 2009, Plaine Commune, la communauté d'agglomération qui rassemble notre ville de Saint-Denis et 7 communes l'entourant inaugurait un système de vélo en libre-service baptisé Velcom. Le x septembre 2010, Plaine Commune annonçait le retrait des derniers vélos disponibles après une vague de vandalisme et de vols.
Amis lecteurs,
Lundi 10 février en fin d'après-midi, en travaillant sur les libellés de certains de mes anciens billets, j'ai publié par erreur ce billet inachevé. Je vous prie de bien vouloir m'en excuser.
En 2012, avec la fin de l'expérience Velcom, et fort d'une importante documentation, la question d'un billet à ce sujet s'est posée. Ce que vous voyez ci-dessous en est le premier jet. Cependant, ce sujet étant déjà abondamment traité et d'autres thèmes et actualités attirant mon attention à l'époque, je n'ai pas poursuivi. Mes archives sont peuplées de ces billets que vous ne verrez jamais, sauf erreur de manipulation comme celle de ce lundi.
Il faut bien comprendre que la tenue d'un blog est très consommateur de temps et que je ne souhaite pas m'investir au détriment de mes activités professionnelles et, surtout, de ma vie personnelle et familiale. Pour durer, il faut trouver un équilibre. D'ailleurs, si je devais être élu au Conseil municipal, il me faudrait donner une nouvelle orientation à ce blog...
Il me reste à vous remercier de votre fidélité. Je peux vous indiquer d'ores et déjà que je parlerai de transports en commun dans le prochain billet. Quant à celui-ci, je vais le laisser pour l'exemple.
Julien MENEAU
Saint-Denis, le 13 février 2014
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" Le 24 juin 2009, Plaine Commune, la communauté d'agglomération qui rassemble notre ville de Saint-Denis et 7 communes l'entourant inaugurait un système de vélo en libre-service baptisé Velcom. Le x septembre 2010, Plaine Commune annonçait le retrait des derniers vélos disponibles après une vague de vandalisme et de vols.
Tout d'abord, revenons-en au principe des vélos en libre-service. Quel est-il ?
Il s'agit de mettre à disposition des habitants des collectivités passant des contrats de mobilier urbain (comprenez les bancs, les panneaux, les abris-bus) des vélos en libre-service. Libre-serice ne voulant pas dire gratuitement. Notez que deux sociétés se partagent le marché : l'américain Clear Channel et le français JCDecaux. Le concept est né en 1998 à Rennes où Clear Channel a mené une première expérience. Néanmoins, c'est JCDecaux qui l'a véritablement lancé en 2004 avec les velo'v, après avoir remporté le marché de mobilier urbain de Lyon.
Depuis, les vélos en libre-service ont essaimé dans de nombreuses villes : Strasbourg vient de lancer en septembre son Vél'hop, Marseille a son Cyclocity, etc.
Sur le plan financier, il y a en gros deux cas de figure. Premièrement, le système est gratuitement mis en place par le prestataire retenu pour le marché urbain. Celui-ci se finance sur le marché obtenu et la collectivité doit accepter le dimensionnement du réseau que celui-ci propose. C'est le cas de Plaine Commune. Deuxièmement, le prestataire du marché urbain perçoit un loyer pour contribuer à équilibrer les comptes du réseau mis en place. Une autre possibilité s'offre également aux collectivités, celle d'installer un réseau en le découplant du marché du mobilier urbain, mais cette solution est peu retenue par les collectivités.
Maintenant, intéressons-nous à nos velcoms et à leur sinistralité.
Au total, 450 vélos ont été mis en place à travers 50 stations installées à Saint-Denis, Aubervilliers, la Courneuve et l'Ile-Saint-Denis. Première remarque, le nombre est très réduit si on le compare à d'autres villes ou communautés. Par exemple,"
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