Il y a quelques jours, le cap des 100 000 pages vues a été dépassé. Que de chemin parcouru depuis plus de 6 ans !!! Certains diront que c'est peu, mais pour un blog reposant sur des articles originaux, fouillés, à peine présent sur les réseaux sociaux et seulement depuis peu, c'est énorme d'arriver à capter plus d'une centaine de visite par jour. Je ne suis pas un bon community manager.
J'ai créé ce blog sur l'outil Blogger de Google en février 2009. Cependant, j'avais créé quelques mois plus tôt un blog identique via les outils de création de blog que Free venait de mettre à la disposition des internautes (pour ceux que cela intéresse, je suis abonné Free depuis 2002 et j'en suis content, même si j'ai du les assigner au tribunal en 2005 pour me faire restituer ma caution suite à une prétendue non restitution de box V3 après déménagement). Mais je m'y suis tellement mal pris que la page créée n'avait pas le nom jhabitesaintdenis... Résultat, je suis parti sur l'outil Blogger, avec l'idée qu'être dans l'orbite Google permettrait d'obtenir une meilleure audience. Les 5 billets de février 2009 avaient été rédigés sur le premier blog.
L'idée de créer un blog pour exposer mes idées, ma vision de notre ville, mais aussi rassembler les informations nombreuses que je collectais sur certains sujets non évoqués dans la presse local, a démarré fin 2007, soit à peine plus d'un an après notre emménagement à Saint-Denis. Pour ma part, l'engagement citoyen me semble naturel. Je pense qu'on s'enrichit en s'ouvrant aux autres, en se mettant au service de sa communauté.
L'administration de ce blog est un travail d'humilité et de persévérance. On ne peut pas parler de tout, sauf à le faire mal. Mes positions, mes réflexions m'appartiennent et diffèrent de celles d'autrui. Si je suis encore là, après toutes ces années et les hauts et les bas qui les ont marquées, c'est parce que je suis arrivé à un équilibre vie privée/vie professionnelle/vie citoyenne. Je supporte des choses qui sont contraires à mes valeurs, parce que je sais ne pas être Zorro, ni un animal politique sur le devant de la scène par droit divin de son parti et exercice de l'art de la communication et de la propagande auprès des électeurs (ils sont nombreux à Saint-Denis, mais s'il n'y avait que là), mais un citoyen ordinaire travaillant avec des moyens dérisoires et observant chaque jour les arrangements quotidiens des édiles avec les extrêmes. Pour ne pas fatiguer et baisser les bras, ce qui aboutirait comme tant d'autres à un déménagement, je cultive mon jardin privé et j'ai appris à accueillir les joies, parfois infimes, mais souvent quotidiennes, que je rencontre. Bref, je regarde ce qui va bien, sans me laisser submerger par ce qui va mal.
Par ailleurs, il ne faut pas se faire d'illusion sur le pouvoir qu'ont les "citoyens engagés" sur la gestion d'une collectivité territoriale. Elle est faible et leurs actions passées sous silence, minimisées ou instrumentalisées. Mon site n'est jamais évoqué et mes idées récupérées, en oubliant de m'en attribuer la paternité. Amis ou ennemis, les politiques se passent volontiers des "citoyens engagés", n'allant les chercher qu'en cas de besoin au moment des élections.
Qui plus est, la gestion d'une commune n'est qu'accessoire dans l'activité de beaucoup d'hommes politiques qui ne pensent qu'à obtenir des mandats plus rémunérateurs et plus intéressants pour asseoir leur autorité au sein de leur parti. Personnellement, je suis favorable au fait d'interdire l'exercice d'un mandat électif, en même temps qu'un travail de fonctionnaire (au Royaume-Uni, cela marche comme cela). Je suis favorable à l'interdiction du cumul des mandats. Je suis favorable à l'interdiction d'exercer plus de 3 mandats, c'est-à-dire de dépasser le délai amplement suffisant pour permettre à l'élu municipal, au député vraiment engagé de concrétiser ses idées (qui nécessitent parfois le temps long) et éviter que les impôts financent des "coucous" refusant de travailler et nous payant de mots.
En conclusion, je voudrai remercier toutes celles et tous ceux qui me font confiance et me suivent. Je voudrai également m'excuser auprès des personnes qui m'ont sollicité et à qui je n'ai pas répondu. Vous l'avez compris, je fais seulement une toute petite partie de ce que je souhaiterai faire et ne peut donc répondre à tout le monde et faire mienne toutes les propositions qui me sont adressées si j'entends poursuivre encore de nombreuses années ce blog. Je tiens aussi à m'excuser pour ces longs mois d'encéphalogramme plat en 2014, où je me suis mis en retrait, mais la fatigue liée aux élections municipales était intense et le plaisir de se retrouver en famille immense.
Saint-Denis, le mercredi 1er juillet 2015, Julien MENEAU
mardi 30 juin 2015
lundi 22 juin 2015
Piscine olympique : soutien à un projet proche du Stade de France
Peut-être avez-vous lu cet article du Parisien du 17 mars 2015 ? Il y est question du projet de construction d'une piscine olympique aux limites de Saint-Denis et d'Aubervilliers. Ce projet est sur la table depuis les débuts de la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2012, soit depuis plus de 10 ans. Cependant, se heurtant à des contraintes d'aménagement, de financement, d'ententes entre toutes les parties prenantes, il n'a toujours pas vu le jour.
Dans l'article, Patrick BRAOUEZEC, Président de la communauté d'agglomération Plaine Commune, évoque le fait que le terrain prévu initialement ne peut plus être utilisé pour le projet. Une partie des terrains est désormais gelée pour abriter des infrastructures de la ligne 15 du métro automatique du Grand Paris. Pour mémoire, l'emplacement est situé le long de la gare RER B de La Plaine Saint-Denis, côté sud. Pour ceux qui s'en souviennent, la construction d'une tour devant abriter le siège de Veolia devait contribuer à financer une partie des travaux de la piscine olympique.
Pour pallier à cette difficulté, Patrick BRAOUEZEC propose un nouvel emplacement. L'article ne dit pas précisément où il est, mais je suis en mesure de vous le révéler. Il s'agit du terrain situé au nord de la gare RER B, qui longe la D30 (avenue Francis de Pressensé). A la différence du précédent site, principalement localisé sur Aubervilliers, celui-ci est en majeure partie sur la commune de Saint-Denis.
Pendant l'enquête sur le Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Saint-Denis, j'ai été reçu par Patrick BRAOUEZEC. J'avais en effet des questions sur les projets de transports en commun, qui ont d'ailleurs donné lieu à des observations de l'Association Saint-Denis Transports que je préside. En marge de ces discussions, j'en ai profité pour évoquer d'autres sujets avec celui que j'ai baptisé le "Lion de Saint-Denis" -son biographe m'en sera gré-, notamment la localisation de la piscine olympique.
Si j'approuve sans réserve le principe de bâtir un équipement sportif de rayonnement national et international sur le territoire de notre commune, sous réserve d'une juste répartition des frais de fonctionnement, et que je partage le principe de l'implanter dans l'environnement du Stade de France, je n'appuie pas le choix de ce site.
Comme je l'ai indiqué à Patrick BRAOUEZEC, je suis davantage en faveur du site disponible et non bâti à proximité de la tour Akzo (celle-ci rachetée et rénovée par vente-privee.com). Comme j'ai déjà eu l'occasion de l'évoquer sur mon blog, ces terrains devaient accueillir le projet Chronos (construction de 45 000 m² d'immeubles de bureaux) qui n'a jamais vu le jour depuis 10 ans, en raison de la difficulté à faire implanter des immeubles de bureaux au nord de l'A86, pas plus que le projet d'hôtel international, qui a complètement avorté. Le bassin de la Maltournée pourrait dialoguer avec l'architecture d'une piscine olympique et le délaissé de la Maltournée transformé en parc de 2 hectares, une fois les bretelles autoroutières fermées et démolies. En coeur de ville, nous pourrions avoir un écrin vert et bleu de toute beauté. Un lieu magnifique offrant d'autres perspectives à nos habitants, en particulier à nos jeunes comme je le disais il y a déjà quatre ans.
Orientation sud-ouest : vue du terrain disponible à droite de la tour Akzo.
Bref, une piscine olympique à Saint-Denis, oui ! Quant à son emplacement, discutons-en.
Par ailleurs, l'installation d'un tel équipement sportif pourrait renforcer d'autres projets et contribuer au rayonnement et à l'attractivité du centre-ville de Saint-Denis sur le nord-ouest de la Seine-Saint-Denis et au-delà sur le nord de la région parisienne.
1. Une piscine olympique pour les nageurs séquano-dionysiens :
Les bassins des piscines municipales des communes entourant Saint-Denis mesurent pour l'essentiel 25 mètres. Beaucoup de nageurs n'y trouvent pas leur compte et partent ailleurs faire leurs longueurs. Pour ma part, je vais à la piscine de Villeneuve-la-Garenne pour profiter de ses 50 mètres de longueur, dont la moitié est découverte !
2. Une piscine olympique pour accueillir les grandes compétitions mondiales :
Vous l'avez tous entendu, l'argument premier pour construire cet équipement est l'absence d'une telle infrastructure dans notre pays. En effet, la France ne dispose pas de l'outil pour accueillir une grande compétition européenne ou internationale. Aucune grande compétition internationale de natation n'a été accueillie depuis 1987, à l'exception des championnats européens 25 mètres à Chartres en 2012.
3. Un équipement sportif pour les étudiants franciliens et étrangers :
Le Quartier Universitaire International du Grand Paris (QUIGP), c'est trois sites nord-parisiens (La Plaine Saint-Denis, Pleyel et Porte de Paris), qui vont accueillir des logements et des équipements pour les étudiants. La présence de la piscine olympique dans le même secteur contribuerait à défendre la place internationale de Paris en matière d'enseignement supérieur. Ceux qui suivent mon blog savent l'intérêt que je porte aux questions relatives à l'enseignement supérieur...
4. Etablir un pôle sportif à Saint-Denis autour du Stade de France :
Nous savons combien nos jeunes gens sont sportifs, combien nos clubs locaux sont dynamiques, combien nos sportives sont extraordinaires. Pour conforter ce vivier de talent, la création d'un pôle sportif paraît indispensable. Créer un tel pôle suppose d'attirer les Fédérations sportives de plusieurs disciplines et d'installer plusieurs infrastructures d'envergures nationale et internationale.
Ainsi, il faut souligner que la Fédération Française de Natation (FFN) avait prévu de s'installer à proximité de la piscine olympique. Pour sa part, la Fédération Française de Triathlon, qui a racheté un ancien bâtiment de la Sécurité Sociale boulevard Marcel Sembat, se heurte à l'occupation du bâtiment, ce qui donne une mauvaise image du territoire dionysien aux responsables sportifs. Autre exemple, les Fédérations Françaises de Bowling, de Billard et de Squash avaient retenu fin 2011 la commune de Saint-Cyr l'Ecole, à côté de Versailles, pour construire sur 1,3 hectare un équipement mutualisé de 12 000 mètres carrés accueillant des dizaines de pistes de bowling, de courts de squash et de tables de billard. La construction de cet équipement, destiné à accueillir des compétitions internationales et à abriter les Fédérations de ces disciplines, semble être ajourné pour des raisons financières. Pourquoi ne pas l'insérer dans un projet plus vaste autour du Stade de France, d'autant que le squash et le bowling sont pressentis pour les Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 (annonce faite aujourd'hui par le comité d'organisation des JO).
Il y a six ans, j'avais suggéré d'attirer le musée national du sport près du Stade de France, mais on ne m'a pas écouté. Le résultat, c'est que Christian ESTROSI, maire de Nice, qui a très bien compris les enjeux, s'est démené pour l'obtenir.
En conclusion, ce projet me paraît être une magnifique opportunité pour notre commune et le territoire séquano-dionysien. Il conjugue les exigences sportives de haut niveau avec les besoins des populations locales. Pour ceux qui auraient un peu de mal à comprendre pourquoi j'apporte mon soutien à ce projet porté par Patrick BRAOUEZEC, je ne peux que leur rappeler que je défends avant tout notre commune et travaille à son amélioration. La rivalité politique ne disparaît pas, mais doit savoir s'effacer pour rassembler ponctuellement les gens intelligents et responsables travaillant au bien-être commun, au moins sur un projet. C'est d'autant plus nécessaire que ces qualités sont rares. L'essentiel des élus municipaux en Ile-de-France sont des petits apparatchiks médiocres, tant sur le plan intellectuel qu'en matière de gestion, et sont tout juste bons à s'entre-déchirer dans leurs fédérations politiques pour être au premier plan sur la photo.
Dans l'article, Patrick BRAOUEZEC, Président de la communauté d'agglomération Plaine Commune, évoque le fait que le terrain prévu initialement ne peut plus être utilisé pour le projet. Une partie des terrains est désormais gelée pour abriter des infrastructures de la ligne 15 du métro automatique du Grand Paris. Pour mémoire, l'emplacement est situé le long de la gare RER B de La Plaine Saint-Denis, côté sud. Pour ceux qui s'en souviennent, la construction d'une tour devant abriter le siège de Veolia devait contribuer à financer une partie des travaux de la piscine olympique.
Pour pallier à cette difficulté, Patrick BRAOUEZEC propose un nouvel emplacement. L'article ne dit pas précisément où il est, mais je suis en mesure de vous le révéler. Il s'agit du terrain situé au nord de la gare RER B, qui longe la D30 (avenue Francis de Pressensé). A la différence du précédent site, principalement localisé sur Aubervilliers, celui-ci est en majeure partie sur la commune de Saint-Denis.
Pendant l'enquête sur le Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Saint-Denis, j'ai été reçu par Patrick BRAOUEZEC. J'avais en effet des questions sur les projets de transports en commun, qui ont d'ailleurs donné lieu à des observations de l'Association Saint-Denis Transports que je préside. En marge de ces discussions, j'en ai profité pour évoquer d'autres sujets avec celui que j'ai baptisé le "Lion de Saint-Denis" -son biographe m'en sera gré-, notamment la localisation de la piscine olympique.
Si j'approuve sans réserve le principe de bâtir un équipement sportif de rayonnement national et international sur le territoire de notre commune, sous réserve d'une juste répartition des frais de fonctionnement, et que je partage le principe de l'implanter dans l'environnement du Stade de France, je n'appuie pas le choix de ce site.
Comme je l'ai indiqué à Patrick BRAOUEZEC, je suis davantage en faveur du site disponible et non bâti à proximité de la tour Akzo (celle-ci rachetée et rénovée par vente-privee.com). Comme j'ai déjà eu l'occasion de l'évoquer sur mon blog, ces terrains devaient accueillir le projet Chronos (construction de 45 000 m² d'immeubles de bureaux) qui n'a jamais vu le jour depuis 10 ans, en raison de la difficulté à faire implanter des immeubles de bureaux au nord de l'A86, pas plus que le projet d'hôtel international, qui a complètement avorté. Le bassin de la Maltournée pourrait dialoguer avec l'architecture d'une piscine olympique et le délaissé de la Maltournée transformé en parc de 2 hectares, une fois les bretelles autoroutières fermées et démolies. En coeur de ville, nous pourrions avoir un écrin vert et bleu de toute beauté. Un lieu magnifique offrant d'autres perspectives à nos habitants, en particulier à nos jeunes comme je le disais il y a déjà quatre ans.
Orientation sud-ouest : vue du terrain disponible à droite de la tour Akzo.
Bref, une piscine olympique à Saint-Denis, oui ! Quant à son emplacement, discutons-en.
Par ailleurs, l'installation d'un tel équipement sportif pourrait renforcer d'autres projets et contribuer au rayonnement et à l'attractivité du centre-ville de Saint-Denis sur le nord-ouest de la Seine-Saint-Denis et au-delà sur le nord de la région parisienne.
1. Une piscine olympique pour les nageurs séquano-dionysiens :
Les bassins des piscines municipales des communes entourant Saint-Denis mesurent pour l'essentiel 25 mètres. Beaucoup de nageurs n'y trouvent pas leur compte et partent ailleurs faire leurs longueurs. Pour ma part, je vais à la piscine de Villeneuve-la-Garenne pour profiter de ses 50 mètres de longueur, dont la moitié est découverte !
2. Une piscine olympique pour accueillir les grandes compétitions mondiales :
Vous l'avez tous entendu, l'argument premier pour construire cet équipement est l'absence d'une telle infrastructure dans notre pays. En effet, la France ne dispose pas de l'outil pour accueillir une grande compétition européenne ou internationale. Aucune grande compétition internationale de natation n'a été accueillie depuis 1987, à l'exception des championnats européens 25 mètres à Chartres en 2012.
3. Un équipement sportif pour les étudiants franciliens et étrangers :
Le Quartier Universitaire International du Grand Paris (QUIGP), c'est trois sites nord-parisiens (La Plaine Saint-Denis, Pleyel et Porte de Paris), qui vont accueillir des logements et des équipements pour les étudiants. La présence de la piscine olympique dans le même secteur contribuerait à défendre la place internationale de Paris en matière d'enseignement supérieur. Ceux qui suivent mon blog savent l'intérêt que je porte aux questions relatives à l'enseignement supérieur...
4. Etablir un pôle sportif à Saint-Denis autour du Stade de France :
Nous savons combien nos jeunes gens sont sportifs, combien nos clubs locaux sont dynamiques, combien nos sportives sont extraordinaires. Pour conforter ce vivier de talent, la création d'un pôle sportif paraît indispensable. Créer un tel pôle suppose d'attirer les Fédérations sportives de plusieurs disciplines et d'installer plusieurs infrastructures d'envergures nationale et internationale.
Ainsi, il faut souligner que la Fédération Française de Natation (FFN) avait prévu de s'installer à proximité de la piscine olympique. Pour sa part, la Fédération Française de Triathlon, qui a racheté un ancien bâtiment de la Sécurité Sociale boulevard Marcel Sembat, se heurte à l'occupation du bâtiment, ce qui donne une mauvaise image du territoire dionysien aux responsables sportifs. Autre exemple, les Fédérations Françaises de Bowling, de Billard et de Squash avaient retenu fin 2011 la commune de Saint-Cyr l'Ecole, à côté de Versailles, pour construire sur 1,3 hectare un équipement mutualisé de 12 000 mètres carrés accueillant des dizaines de pistes de bowling, de courts de squash et de tables de billard. La construction de cet équipement, destiné à accueillir des compétitions internationales et à abriter les Fédérations de ces disciplines, semble être ajourné pour des raisons financières. Pourquoi ne pas l'insérer dans un projet plus vaste autour du Stade de France, d'autant que le squash et le bowling sont pressentis pour les Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 (annonce faite aujourd'hui par le comité d'organisation des JO).
Il y a six ans, j'avais suggéré d'attirer le musée national du sport près du Stade de France, mais on ne m'a pas écouté. Le résultat, c'est que Christian ESTROSI, maire de Nice, qui a très bien compris les enjeux, s'est démené pour l'obtenir.
En conclusion, ce projet me paraît être une magnifique opportunité pour notre commune et le territoire séquano-dionysien. Il conjugue les exigences sportives de haut niveau avec les besoins des populations locales. Pour ceux qui auraient un peu de mal à comprendre pourquoi j'apporte mon soutien à ce projet porté par Patrick BRAOUEZEC, je ne peux que leur rappeler que je défends avant tout notre commune et travaille à son amélioration. La rivalité politique ne disparaît pas, mais doit savoir s'effacer pour rassembler ponctuellement les gens intelligents et responsables travaillant au bien-être commun, au moins sur un projet. C'est d'autant plus nécessaire que ces qualités sont rares. L'essentiel des élus municipaux en Ile-de-France sont des petits apparatchiks médiocres, tant sur le plan intellectuel qu'en matière de gestion, et sont tout juste bons à s'entre-déchirer dans leurs fédérations politiques pour être au premier plan sur la photo.
Libellés :
Aubervilliers,
Jeux Olympiques 2024,
ligne 13,
ligne 15,
Mathieu HANOTIN,
Patrick BRAOUEZEC,
piscine olympique,
Plaine Commune,
Quartier Universitaire International du Grand Paris,
Saint-Denis
mercredi 10 juin 2015
Patrick BRAOUEZEC : Marianne d'Or de la République
Le
Président de la Communauté d’agglomération Plaine Commune fait partie du palmarès
du concours national de la "Marianne d’Or 2015". Les Mariannes d’Or de la République, c’est le
« concours qui fait aimer la
République et ses valeurs ». Sa nomination est liée au développement
impulsé depuis plus de 10 ans au territoire. Il figure dans le palmarès aux
côtés d'hommes politiques de Gauche et de Droite plus connus (André SANTINI,
Gérard COLOMB, Xavier BERTRAND…) et d’autres moins connus, qui ont certainement
davantage travaillé que ces grands barons politiques.
Voici
le lien vers le site.
Libellés :
Patrick BRAOUEZEC,
Plaine Commune,
Saint-Denis
lundi 8 juin 2015
Le Racing Club de Saint-Denis en D2 !
Pour ce dernier match, il n'y avait plus de suspense, les Dionysiennes du Racing Club de Saint-Denis savaient qu'elles montraient en D2. Battues 3-2, elles permettent à leurs opposantes de Caen de sortir la tête haute de leur campagne.
Nos filles auront su se transcender tout au long de ce championnat. Leur montée en D2 est donc méritée, d'autant que les parisiennes de l'ES Seizième étaient de redoutables adversaires.
Amies lectrices, amis lecteurs, je vous inviterais à les soutenir l'année prochaine et à les accompagner dans leurs légitimes ambitions sportives.
Mesdames, merci à vous et félicitations !!!
Nos filles auront su se transcender tout au long de ce championnat. Leur montée en D2 est donc méritée, d'autant que les parisiennes de l'ES Seizième étaient de redoutables adversaires.
Amies lectrices, amis lecteurs, je vous inviterais à les soutenir l'année prochaine et à les accompagner dans leurs légitimes ambitions sportives.
Mesdames, merci à vous et félicitations !!!
mardi 2 juin 2015
"Karambolage dionysien" : la devinette dionysienne
Êtes-vous un "Karambologien" ? Si oui, je n'ai pas besoin de vous présenter l'émission d'Arte du dimanche soir. Si ce n'est pas le cas, je vous invite à regarder Karambolage. Le magazine de Claire DOUTRIAUX ne dure que 15 minutes et passe le dimanche soir à 20 heures. Nous le regardons en famille et mon fils de 8 ans est toujours très intéressé, car la conception de cette émission repose principalement sur l'animation, ce qui donne un côté ludique apprécié par les plus jeunes.
Pendant 15 minutes, plusieurs sujets sont traités, comme par exemple le mot ou das wört, la tradition ou die tradition, etc. Les sujets changent à chaque fois et sont incroyablement variés. Si vous pensez que le titre du dernier livre de Jean-Luc MELENCHON Le hareng de Bismarck vient de l'imagination fertile du leader du Parti de Gauche, je vous invite à revoir l'émission du 15 décembre 2013.
Invariablement, chaque émission se termine par la devinette ou das rätsel, c'est-à-dire un plan de 30 secondes filmé en France ou en Allemagne. Les spectateurs doivent identifier le lieu de tournage du plan, ce qui provoque toujours un débat dans la famille.
En hommage à cette émission extraordinaire, je vous propose de faire de même avec des photos de Saint-Denis une fois par mois. Depuis presque 9 ans que je parcours notre bonne ville, j'ai accumulé plus d'un millier de photos. Elles ont été prises de jour comme de nuit, en été comme en hiver. Je vous demanderai d'identifier le lieu photographié. Dans la plupart des cas, cette identification sera facile, voire très facile. Dans d'autres... vous attendrez deux semaines pour avoir la réponse.
Voici la première photo, il s'agit de celle mise en ligne il y a quelques jours sur Facebook. Regardez bien, car il y a un indice !
Pendant 15 minutes, plusieurs sujets sont traités, comme par exemple le mot ou das wört, la tradition ou die tradition, etc. Les sujets changent à chaque fois et sont incroyablement variés. Si vous pensez que le titre du dernier livre de Jean-Luc MELENCHON Le hareng de Bismarck vient de l'imagination fertile du leader du Parti de Gauche, je vous invite à revoir l'émission du 15 décembre 2013.
Invariablement, chaque émission se termine par la devinette ou das rätsel, c'est-à-dire un plan de 30 secondes filmé en France ou en Allemagne. Les spectateurs doivent identifier le lieu de tournage du plan, ce qui provoque toujours un débat dans la famille.
En hommage à cette émission extraordinaire, je vous propose de faire de même avec des photos de Saint-Denis une fois par mois. Depuis presque 9 ans que je parcours notre bonne ville, j'ai accumulé plus d'un millier de photos. Elles ont été prises de jour comme de nuit, en été comme en hiver. Je vous demanderai d'identifier le lieu photographié. Dans la plupart des cas, cette identification sera facile, voire très facile. Dans d'autres... vous attendrez deux semaines pour avoir la réponse.
Voici la première photo, il s'agit de celle mise en ligne il y a quelques jours sur Facebook. Regardez bien, car il y a un indice !
lundi 1 juin 2015
Dimanche 31 mai 2015 : nouvelle victoire du Racing Club de Saint-Denis !
Après leur victoire dimanche 31 mai sur Boulogne, les filles du Racing Club de Saint-Denis sont aux portes de la D2. Seule une lourde défaite face à Caen (équipe qu'elles ont écrasé au match aller) et une victoire de l'ES Seizième avec une grande avance pourrait entraver cette marche victorieuse. En clair, le 7 juin prochain, Saint-Denis pourra s'enthousiasmer pour une équipe de sport collectif en deuxième division. Une première grâce à des filles !
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