Une fois n'est pas coutume, mon sujet n'est pas localisé sur le territoire de notre bonne ville de Saint-Denis, mais sur Saint-Ouen. A 50 mètres à vol d'oiseau du territoire de Saint-Denis, au 3 rue Fernand Hainaut à Saint-Ouen, se trouve l'Institut supérieur de mécanique de Paris, appelé plus communément SUPMECA. On y accède très facilement, il suffit de s'arrêter à la station de la ligne 13 Carrefour Pleyel, puis de marcher une dizaine de minutes.
Orientation Nord : Entrée de l'école d'ingénieurs SUPMECA.
SUPMECA est une école d'ingénieurs publique, dont les élèves sont principalement recrutés par les groupes industriels, notamment dans les secteurs du transport : aéronautique, ferroviaire, automobile. Les ingénieurs SUPMECA sont donc de véritables professionnels de l'industrie, ce qui ne les empêchent pas, une fois leur diplôme en poche, d'intégrer des écoles de commerce pour obtenir la patine manager recherchée par certains employeurs (conseils...).
Pour intégrer SUPMECA, la voie royale est, comme pour toutes les écoles d'ingénieurs post-prépa, de sortir d'une classe prépa scientifique et de passer les concours, en l'occurrence les Concours Communs Polytechniques. Cependant, il existe quelques alternatives. Vous pouvez demander une admission parallèle en étant diplômé dans une matière proche, comme une licence de mathématiques, un BTS Conception de Produits Industriels. Sinon, vous pouvez intégrer une prépa spéciale qui prononcera votre admission sur vos notes en contrôle continu et non à l'issue d'un concours. SUPMECA s'est associée à d'autres écoles d'ingénieurs pour offrir des places aux élèves de la Prépa Collegium Ile-de-France. SUPMECA recrute également des élèves issus de la CPES (Classe Préparatoire aux Etudes Supérieures) du lycée Jacques FEYDER à Epinay-sur-Seine, à laquelle elle contribue en partenariat avec le lycée spinassien et l'Université Paris 13, plus particulièrement l'école d'ingénieurs Sup'Galilée dont je vous parlerai lors d'un prochain billet.
Vous l'avez compris, la présence de cette grande école est une chance pour notre territoire. Très facile d'accès (tout le monde n'a pas la chance à 18-20 ans de posséder une voiture pour aller étudier...) celle-ci s'investit pour permettre à nos jeunes gens de l'intégrer. La présence de cette école, qui nous renvoie aussi au passé industriel de Saint-Denis, peut aussi être un point d'appui pour une politique de développement de l'emploi industriel, à travers la création de locaux adaptés et la mise en place d'un Fab Lab dans le secteur de Pleyel.
Orientation Nord : Locaux anciens et modernes de l'école d'ingénieurs SUPMECA à Saint-Ouen.
mercredi 13 novembre 2013
lundi 11 novembre 2013
Augmentation de la fréquence de passage des RER D aux horaires de pointe
Vous souvenez-vous du programme RER D + qui prévoyait d'augmenter la fréquence de passage des RER D au nord de Paris ? Et bien, nous y sommes !
A compter du 15 décembre 2013, et pour les jours ouvrés, le nombre de rame passant en heure de pointe à la gare de Saint-Denis et à l'arrêt du RER D Stade de France-Saint-Denis, passera de huit à douze. Cette amélioration est notable et bienvenue.
Cependant, elle ne concerne pas le week-end, où la fréquence sera inférieure : 8 le samedi et moins le dimanche, ce qui est un vrai problème puisque la demande de transports reste très élevée et à tout à heure de la journée. Vous trouverez ci-contre un lien vers les nouveaux horaires de transports.
A compter du 15 décembre 2013, et pour les jours ouvrés, le nombre de rame passant en heure de pointe à la gare de Saint-Denis et à l'arrêt du RER D Stade de France-Saint-Denis, passera de huit à douze. Cette amélioration est notable et bienvenue.
Cependant, elle ne concerne pas le week-end, où la fréquence sera inférieure : 8 le samedi et moins le dimanche, ce qui est un vrai problème puisque la demande de transports reste très élevée et à tout à heure de la journée. Vous trouverez ci-contre un lien vers les nouveaux horaires de transports.
dimanche 3 novembre 2013
Doubler le nombre de jardins confiés aux Dionysiens ! Un exemple : le projet du Jardin Dreyfus !
Je voudrais apporter mon soutien à un projet de jardin géré par une association. Ce projet, situé à l'angle de la rue du Landy et de la rue du capitaine Dreyfus, est porté par des habitants résidant dans les constructions neuves de ce secteur de La Plaine, situé à proximité de la station RER D. Un blog a été créé, et je vous invite à le consulter.
Voici quelques photos prises hier sous la pluie.
Orientation sud : La parcelle est bordée par la rue du Landy, la rue du capitaine Dreyfus (à droite) et les emprises SNCF que l'on devine au fond, avec les voies du RER B.
Orientation nord : La parcelle fait un peu moins de 2 000 m².
Je suis totalement convaincu que la création d'un jardin pérenne serait une excellente chose pour les Dionysiens !
Tout d'abord, un jardin apporte du vert au coeur de la ville. Et ce secteur de Saint-Denis en manque cruellement.
Ensuite, de nombreuses études médicales ont démontré l'impact positif pour la santé, physique et morale, de jardiner. En effet, au-delà de la consommation des légumes et fruits produits, ces études évoquent la plus grande estime de soi, le fait de poser un regard différent sur la marche de sa vie, grâce à l'action de jardiner, au respect du rythme des saisons, etc.
Enfin, c'est une aide directe au pouvoir d'achat de nos concitoyens.
Je souhaite que ce jardin se fasse et que nous puissions dans 1 an, dans 10 ans, dans 20 ans et au-delà, trinquer avec celles et ceux qui auront contribué à ce projet.
Je souhaite également que nous doublions la surface consacrée aux jardins familiaux/ouvriers ou associatifs dans notre ville. Le Fort de l'est, sur lequel l'adjoint au maire Stéphane PEU lorgne pour couler du béton et construire des centaines de logements éloignés des transports, est le lieu idéal pour y parvenir, en étendant les emprises déjà existantes consacrées aux jardins familiaux.
Voici quelques photos prises hier sous la pluie.
Orientation sud : La parcelle est bordée par la rue du Landy, la rue du capitaine Dreyfus (à droite) et les emprises SNCF que l'on devine au fond, avec les voies du RER B.
Orientation nord : La parcelle fait un peu moins de 2 000 m².
Je suis totalement convaincu que la création d'un jardin pérenne serait une excellente chose pour les Dionysiens !
Tout d'abord, un jardin apporte du vert au coeur de la ville. Et ce secteur de Saint-Denis en manque cruellement.
Ensuite, de nombreuses études médicales ont démontré l'impact positif pour la santé, physique et morale, de jardiner. En effet, au-delà de la consommation des légumes et fruits produits, ces études évoquent la plus grande estime de soi, le fait de poser un regard différent sur la marche de sa vie, grâce à l'action de jardiner, au respect du rythme des saisons, etc.
Enfin, c'est une aide directe au pouvoir d'achat de nos concitoyens.
Je souhaite que ce jardin se fasse et que nous puissions dans 1 an, dans 10 ans, dans 20 ans et au-delà, trinquer avec celles et ceux qui auront contribué à ce projet.
Je souhaite également que nous doublions la surface consacrée aux jardins familiaux/ouvriers ou associatifs dans notre ville. Le Fort de l'est, sur lequel l'adjoint au maire Stéphane PEU lorgne pour couler du béton et construire des centaines de logements éloignés des transports, est le lieu idéal pour y parvenir, en étendant les emprises déjà existantes consacrées aux jardins familiaux.
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