mercredi 26 juin 2013

Réponse du Maire de Saint-Denis à ma Lettre ouverte concernant l'entretien de la mémoire des combattants du fascisme


Voici la réponse de notre maire, Didier PAILLARD, à mon courrier relatif à la dégradation de la plaque commémorant la mémoire de Pierre PRIMEL et le pressant de la réparer ou de la remplacer de façon urgente. Je mets également copie de la réponse du maire au courrier de notre député, Mathieu HANOTIN.




Voici également le petit encart publié dans le Journal de Saint-Denis (n°963 du 19 au 25 juin 2013).


A ce jour, rien n'a changé, mais promesse est faite d'une action rapide. Inutile de préciser que je vous tiendrai régulièrement au courant de la réparation ou du changement de cette plaque. Les remerciements du Maire pour ma "vigilance citoyenne" me pèse, dans la mesure où il aurait été préférable que ses services ou ses adjoints agissent dès avril.

dimanche 23 juin 2013

Soutiens politiques à ma Lettre ouverte au Maire de Saint-Denis concernant l'entretien de la mémoire des combattants du fascisme

Ma Lettre ouverte à Didier Paillard a rencontré un écho favorable auprès de nombreux édiles politiques, y compris dans la majorité municipale, dont certains m'ont manifesté leur soutien dans la préservation des symboles rappelant notre devoir de lutter pour les Droits de l'Homme et contre le racisme.

Vous trouverez ci-dessous le courrier de Mathieu HANOTIN, député de Saint-Denis, à l'attention de Didier PAILLARD, maire de Saint-Denis, demandant également la restauration ou le changement de la plaque et l'entretien de toutes les plaques commémoratives. Qu'il en soit remercié !



dimanche 9 juin 2013

Lettre ouverte au Maire de Saint-Denis : entretenir la mémoire des combattants du fascisme


Pierre PRIMEL a été arrêté en 1940. Déporté en 1942, il est mort quelques mois plus tard à Auschwitz.
Militant communiste et délégué syndical CGT, une plaque a été posée en 1997 pour lui rendre hommage.

Depuis plus de deux mois, voici son état.


Plaque localisée au 5 rue riant

Je ne sais si quelque chose est fait, mais franchement, si c'est le cas, çà prend trop de temps et c'est pas normal. Peu importe de savoir qui est propriétaire de cette plaque et devrait l'entretenir. Il faut le faire ! Comment le comprendre sinon ? Que des gens ergotent pour trois francs six sous ? Absurde ?

J'ai donc écris une lettre ouverte au Maire. Je vais l'envoyer aux élus, aux associations, aux journaux, dont le Journal de Saint-Denis. Chacun peut reprendre cette information pour que cette plaque soit restaurée ou changée maintenant, et pas dans 6 mois. 

Courrier adressé le 10 juin, en lettre suivi, n° 1H 014 007 7631 1, distribué le 11 juin.

Au-delà de cette plaque, et c'est l'objet du dernier paragraphe de ma lettre ouverte, je pense qu'il faut entretenir régulièrement toutes les plaques de notre ville et honorer la mémoire de ceux qui sont tombés sous les coups des nazis.

Je vous tiendrai au courant de la réponse du Maire, ainsi que de l'état de cette plaque et des autres plaques.

mercredi 5 juin 2013

Eclairage urbain : un service public défaillant

Nos élus sont constants dans une pratique : faire à moitié les choses ! Pourquoi ? Parce que c'est une méthode pour rendre les populations dépendantes. Celles-ci n'osent pas élever la voix de peur que leurs problèmes, qui commencent à trouver un début de réponse, n'en trouvent jamais. 

Apporter une solution à l'éclairage public à Saint-Denis passe par la même logique.

Les dysfonctionnements du système d'éclairage public ont ainsi plongé la rue auber dans le noir au-delà de minuit, au cours de la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 juin. Puis, la lumière apparût ! 



Nos élus sont décidément de sacrés illusionnistes ! Dommage pour eux, car c'est d'élus responsables dont nous avons besoin. Mais le point positif (un peu d'humour...) est que ceux d'entre eux qui n'ont pas d'autres jobs que leur mandat pourront se reconvertir aisément.